LES OBJECTIFS DE LA FRANCOPHONIE 

Les objectifs exposés par la Charte de la Francophonie sont les suivants : 

  • Aider à l’instauration et au développement de la démocratie :  

La Francophonie est pour la démocratie comme on peut voir dans le document “Appel francophone d’Erevan pour le Vivre ensemble”. Justement, on pourrait dire que “vivre ensemble” signifie vivre en démocratie, c’est-à-dire, vivre en paix, en harmonie, en respectant les droits de chacun et les différences, l’altérité.  

On peut constater dans l’article 12 de la déclaration d'Erevan, le compromis assumé de part des nations impliquées sur la démocratie :  “Réitérons notre engagement en faveur de la démocratie et de l’État de droit, socle de nos valeurs communes ; réaffirmons à cet égard notre attachement à la gouvernance démocratique, au respect de nos constitutions, et à la tenue d’élections libres, régulières, fiables, transparentes et inclusives”.  

Pour développer la démocratie et la maintenir au cours du temps, l’éducation es tout à fait nécessaire, l'article 23 nous dit :  “Soulignons le rôle essentiel de l’éducation dans l’apprentissage de la vie démocratique et du respect des droits de l’Homme ainsi qu’en tant qu’instrument de promotion de la diversité, de l’égalité entre les femmes et les hommes, de la tolérance et de l’inclusion...” 

  • Aider à la prévention, à la gestion et au règlement des conflits :  

Dans la suivante citation, on peut observer l’expression de la nécessité de la démocratie comme seul régime politique et nous fait parvenir des conflits à cause des radicalisations et des intolérances : “Notre cohésion sociale et multilatérale est cependant quotidiennement menacée et fragilisée notamment par le préoccupant accroissement des inégalités, par les conséquences d’une dégradation sans précédent du climat et de la biodiversité et par la montée des populismes, des nationalismes, de la radicalisation et de l’extrémisme violents pouvant conduire au terrorisme, qui peuvent entraîner l’uniformisation, le repli sur soi, et le rejet de l’altérité. Face aux grandes mutations mondiales, nous soulignons la nécessité d’agir, chacun à son niveau, afin d’accomplir la vision politique des Fondateurs de la Francophonie, cet humanisme intégral qui demeure l’idéal auquel nous aspirons. Nous sommes convaincus que nos sociétés et nos populations disposent de la volonté et de tous les atouts nécessaires pour renforcer notre cohésion sociale dans le respect des libertés individuelles.” 

Pour résoudre des conflits, la Francophonie fait l’appel au dialogue et à la négociation pacifique, l’article 19 affirme : “Conformément aux buts et principes de la Charte des Nations unies, réitérons notre attachement au règlement pacifique des crises et des conflits qui affectent l’espace francophone, notamment dans le cadre des formats de négociations internationalement reconnus, et favorisons, en toute circonstance, le dialogue, les bons offices et la médiation pour parvenir à une solution négociée de ces crises et conflits ; soutenons une contribution accrue des femmes dans la prévention et la résolution des conflits.” 

Pour prévenir des conflits, comme on a déjà expliqué, l’éducation visant la démocratie est nécessaire, parce que de cette manière, on pourra avoir une société qui a compris les valeurs essentielles de l’homme comme la liberté, la coopération, l’altérité, etc. L’article 22 exprime : “Convaincus que la négation du crime de génocide, des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité ou leur justification peuvent mener à l’impunité, faire obstacle à la prévention de ces crimes et réduire à néant la réconciliation entre les peuples, soulignons l’importance des programmes éducatifs visant à les prévenir ; encourageons vivement la sensibilisation accrue du public à la lutte contre ces crimes, l’action constante contre le négationnisme ainsi que la mobilisation des efforts internationaux pour empêcher leur répétition.” 

  • Aider au soutien à l’État de droit et aux droits de l’Homme :  

Comme on a déjà dit, “vivre ensemble”, vivre démocratiquement est possible en respectant les droits de tous. La Francophonie vise à garantir et promouvoir les droits de l’Homme, cela se fait évident dans les articles 9, 10 et 11 :  

Article 9 : “Réaffirmons que le respect et la promotion des droits de l’Homme est une priorité absolue, et témoignons notre attachement à la Déclaration universelle des droits de l’Homme, dont nous célébrons le 70e anniversaire.” 

 Article 10 : “Convaincus du caractère inaliénable de la dignité et de l’égale valeur de tous les êtres humains, femmes et hommes, sommes résolus à poursuivre les efforts visant à garantir l’universalité des droits de l’Homme et leur application équitable par l’ensemble de nos États et gouvernements ; exprimons notre soutien au renforcement des capacités et du rôle des mécanismes nationaux, régionaux et internationaux dans le domaine des droits de l’Homme.” 

Article 11 :  “Réaffirmons notre attachement à la promotion et à la protection de tous les droits de l’Homme ─ les droits civils, politiques, économiques, sociaux et culturels ─ comme droits fondamentaux, inaliénables, universels, indissociables, interdépendants, à travers le dialogue, la coopération, le renforcement des capacités, l'assistance technique et la reconnaissance des bonnes pratiques, afin de construire une paix et une prospérité collectives et durables dans l’espace francophone et dans le monde, et à ce titre, rappelons l’adoption de la Déclaration du droit au développement des Nations unies, qui vise à créer des conditions économiques et sociales favorables au développement de tous les peuples et individus.” 

  • Aider à l’intensification du dialogue des cultures et des civilisations et au rapprochement des peuples par leur connaissance mutuelle :  

Dans le document “Appel francophone d’Erevan pour le Vivre ensemble” on trouve que l’expression “Vivre ensemble” signifie aussi s’enrichir grâce aux diversités des peuples. La langue française agit comme un trait d’union entre les différents pays et régions francophones. C'est pourquoi, il est nécessaire de “renforcer son usage, dans le respect de la diversité linguistique, est indispensable à la cohésion de l’espace francophone et à son ouverture sur le monde.” 

 Pour établir et soutenir un dialogue entre cultures, il faut “encourager la tolérance, l’inclusion, le respect de la diversité, le pluralisme et à vivre les uns avec les autres de façon solidaire. La mobilité et les échanges internationaux, qui favorisent l’ouverture d’esprit, concourent au succès de ce dialogue.” 

Pour intensifier ce dialogue, les États et les gouvernements membres appellent à promouvoir le dialogue interculturelle et interreligieux, sauvegarder le patrimoine culturel, favoriser le respect interculturel à travers l’éducation, faciliter des échanges culturels, la circulation des biens culturels, entre autres propositions.  

On doit ajouter, en consonance avec l’article 61 de la Déclaration d’Erevan, que la culture appartient aux droits de l’Homme : “...les droits culturels sont partie intégrante des droits de l’Homme et des libertés fondamentales, et que toute personne a le droit de préserver et de développer sa culture, ses traditions, sa religion, sa langue, dans le respect des engagements internationaux souscrits dans le domaine des droits de l’Homme, et de participer pleinement à la vie culturelle de la société sans aucun préjudice ni restriction.” 

  • Aider au renforcement de leur solidarité par des actions de coopération multilatérale en vue de favoriser l’essor de leurs économies :  

Le but principal de cette solidarité est lutter contre la paupérisation des populations les plus fragiles. Dans le document “Appel francophone d’Erevan pour le Vivre ensemble”, on trouve que “développer des systèmes économiques durables, soucieux d’une juste répartition des richesses, d’une meilleure égalité des chances et d’une amélioration des conditions de vie est une condition essentielle de notre capacité à bien vivre ensemble en Francophonie.” 

Pour garantir une égalité des chances, les États veulent améliorer l'accès aux services essentiels, a l'éducation et la santé. En plus, pour atteindre ce but, on propose d’ “encourager l’investissement pour des emplois décents et durables, l’entrepreneuriat, particulièrement chez les jeunes et les femmes, ainsi que la mobilité des entrepreneurs, des investisseurs et des jeunes afin de favoriser le partage d’expériences et de démultiplier les opportunités de développement économique à l’échelle de l’espace francophone.” 

L'article 43 de la Déclaration d’Erevan nous rappelle la nécessité d'approfondir des réseaux institutionnels, professionnels et des entreprises francophones, et on propose la création des réseaux patronales francophones.  

L'article 44, de sa part, souligne l’importance d’une formation continuelle afin d’avoir des ressources humaines qualifiés pour le développement durable. Avec l’aide de ce type des formations on peut atténuer le chômage.  

  • Aider à la promotion de l’éducation et de la formation : 

On a déjà parlé sur les bénéfices de l’éducation : elle sert à promouvoir et maintenir la démocratie, à connaitre des autres cultures francophones, à être plus tolérants avec les différences, à améliorer des conditions économiques.  

L'article 45 réaffirme “l’attachement à une éducation publique, gratuite et de qualité pour toutes et tous”. Et l’article 46 nous rappelle l'urgence de l'éducation des enfants des pays les plus pauvres, “les institutions de la Francophonie se proposent garantir un enseignement de qualité en français et du français dans le respect de la diversité linguistique.” 
  

LES INSTITUTIONS DE LA FRANCOPHONIE 

Les institutions de la Francophonie sont : 

1. Les instances de la Francophonie : 

- La Conférence des chefs d’État et de gouvernement des pays qui partagent le français : le « Sommet »  

Le Sommet est l’instance suprême de la Francophonie. Il est composé par des chefs d’État et de gouvernement des pays qui partagent le français. Il définit les orientations de la Francophonie de manière à assurer son rayonnement dans le monde. Il adopte toute résolution qu’il juge nécessaire au bon fonctionnement de la Francophonie et à la réalisation de ses objectifs. 

Les chefs d’État ou de gouvernement discutent aussi de politique internationale, d’économie mondiale, de coopération francophone, de droits humains, d’éducation, de culture et de démocratie. Le sommet sert également à : élire le secrétaire général de la Francophonie et statuer sur l’admission de nouveaux membres de plein droit, de membres associés ou de membres observateurs. 

- La Conférence ministérielle de la Francophonie 

Elle a pour mission de veiller à l’exécution des décisions arrêtées lors d’un Sommet et de préparer le Sommet suivant. Elle se prononce sur les grands axes de l’action multilatérale francophone. Les Etats et gouvernements membres ou observateurs du Sommet y sont représentés par leur ministre des Affaires étrangères ou le ministre chargé de la Francophonie. Les opérateurs de la Francophonie sont également présents. En outre, la Conférence ministérielle recommande au Sommet l’admission de nouveaux membres et de nouveaux membres associés ou observateurs, ainsi que la nature de leurs droits et obligations. 

- Le Conseil permanent de la Francophonie 

C’est l’instance chargée de la préparation et du suivi du Sommet, sous l’autorité de la Conférence ministérielle. Il est à la fois animateur, coordonnateur et arbitre de l’action de l’Organisation. Présidé par la Secrétaire générale de la Francophonie, il se prononce sur ses propositions et la soutient dans l’exercice de ses fonctions. Son rôle est veiller à l’exécution des décisions prises par la Conférence Ministérielle, examiner la situation politique et l’état des pratiques de la démocratie, des droits et des libertés dans l’espace francophone, approuver les projets de programmation et examiner les rapports financiers, les prévisions budgétaires et le compte rendu d’exécution des programmes de l’OIF. 

2. Le Secrétaire général de la Francophonie 

Le secrétaire général dirige l’Organisation internationale de la francophonie (OIF) dont il est le représentant légal. Il nomme l’administrateur de l’OIF qui exerce ses fonctions par délégation. De plus, il assure un lien direct entre les instances et le dispositif opérationnel de la francophonie. Il est responsable du secrétariat des sessions des instances de la francophonie, il préside le Conseil permanent de la francophonie (CPF) qu'il réunit, et il siège de droit à la Conférence ministérielle de la francophonie (CMF). 

Le secrétaire général conduit l’action politique de la francophonie, dont il est le porte-parole et le représentant officiel au niveau international. Le statut du Secrétaire général a un caractère international. Le Secrétaire général ne demande ni ne reçoit d’instructions ou d’émoluments d’aucun gouvernement ni d’aucune autorité extérieure.  

Dans le domaine de la coopération, il est responsable de l’animation de la coopération multilatérale francophone et préside à ce titre le conseil de coopération qui regroupe l'administrateur de l’OIF et les responsables de l’Assemblée parlementaire de la francophonie (APF) et des opérateurs spécialisés (AUF, TV5, AIMF, université Senghor).  

Le Secrétaire général est le représentant légal de l’OIF. À ce titre, il engage l’Organisation et signe les accords internationaux. Il rend compte au Sommet de l’exécution de son mandat. En plus, il nomme le personnel et ordonne les dépenses et Il est responsable de l’administration et du budget de l’OIF. 

3. L’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) 

L’Organisation internationale de la francophonie (OIF) est une organisation regroupant 88 États. L'OIF apporte à ceux-ci un appui dans l’élaboration ou la consolidation de leurs politiques et mène des actions de politique internationale et de coopération multilatérale, selon quatre grandes missions : promouvoir la langue française et la diversité culturelle et linguistique, de promouvoir la paix, la démocratie et les droits de l’homme, d'appuyer l'éducation et la recherche et de développer la coopération économique au service du développement durable 

Une attention particulière est portée aux jeunes et aux femmes ainsi qu’au numérique dans l’ensemble des actions de l’OIF. 

4. L’Assemblée parlementaire de la Francophonie (APF) 

L’Assemblée parlementaire de la Francophonie se compose de parlements et d'organisations interparlementaires partageant les valeurs de la Charte de la Francophonie. Ils se constituent en sections. 

L'APF travaille activement à la promotion de la démocratie, de l'État de droit et des droits de la personne dans l'espace francophone. Elle contribue aussi au rayonnement de la langue française et à la promotion de la diversité des expressions culturelles. Elle est un lieu de débats, de propositions et d'échanges d'informations sur tous les sujets d'intérêt commun à ses membres. Elle met aussi en œuvre des actions dans les domaines de la coopération interparlementaire au sein des parlements de l'espace francophone. 

5. Les opérateurs directs et reconnus du Sommet, qui concourent, dans les domaines de leurs compétences, aux objectifs de la Francophonie : 

- l’Agence universitaire de la Francophonie (AUF)  

- TV5, la télévision internationale francophone  

- l’Université Senghor d’Alexandrie  

- l’Association internationale des maires et responsables des capitales et des métropoles partiellement ou entièrement francophones (AIMF) 

6. Les Conférences ministérielles permanentes : la Conférence des ministres de l’Éducation des pays ayant le français en partage (Confémen) et la Conférence des ministres de la Jeunesse et des Sports des pays ayant le français en partage (Conféjes). 

 

LES STRATÉGIES PROPOSÉES PAR LE DERNIER SOMMET FRANCOPHONE POUR LA PROMOTION DE L’ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES 

 

1. Promouvoir les droits des femmes et des filles, et lutter contre toutes les formes de discrimination et de violence faites aux femmes et aux filles 

  • Promouvoir les droits des femmes et des filles, leur accès à la justice, et lutter contre toutes les formes de discriminations à leur égard : promouvoir et assurer le respect des droits fondamentaux des femmes et des filles, notamment leurs droits à la liberté, à la sûreté de leur personne, à l’intégrité, à l’égalité et à la dignité ; leur garantir un accès égal et équitable à la justice, et prendre des mesures pour lutter contre l’impunité 

  • Prévenir et lutter contre toutes les formes de violences faites aux femmes et aux filles, en temps de paix comme en situations de conflit : faciliter et renforcer l’accès des femmes et des filles à la justice dans les situations de conflit et d’après-conflit, afin de sanctionner les violences sexistes et sexuelles à leur égard et ainsi contribuer à mettre fin à l’impunité des auteurs de ces violences. 

2. Assurer une éducation et une formation de qualité et libre de discrimination tout au long de la vie, et valoriser la participation des femmes à l’enseignement supérieur et à la recherche 

  • Assurer et garantir l’accès des femmes et des filles à une éducation et à une formation de qualité : promouvoir et respecter le droit des femmes et des filles à l’éducation tout au long de leur vie et à tous les niveaux, en particulier pour celles en situation de vulnérabilité, en veillant à ce que cette éducation soit inclusive et libre de toute forme de discrimination. 

  • Promouvoir l’accès et la participation des femmes à l’enseignement supérieur et à la recherche et lutter contre toute forme de discrimination à l’égard des femmes au sein des établissements d’enseignement supérieur : Développer, dès le secondaire, les conditions d’une bonne maîtrise du français comme langue donnant accès à la mobilité et aux échanges internationaux dans l’enseignement supérieur. 

3. Favoriser l’autonomisation économique des femmes et des filles dans la perspective d’un développement durable et d’une croissance inclusive 

  • Mettre en place et soutenir les initiatives qui permettent l’autonomisation économique des femmes, notamment en leur assurant un accès au marché de l’emploi formel et une protection sociale: promouvoir l’accès à un travail décent pour les femmes ainsi que leur transition vers l’emploi formel, en favorisant la mise en place de systèmes de protection sociale, de mécanismes de protection des femmes actives sur le marché informel, de droits et de conditions de travail adéquats, notamment leur droit à un salaire égal pour un travail de valeur égale, et de réglementations et de normes de travail. 

  • Appuyer l’entrepreneuriat des femmes et leur accès au numérique : Mobiliser des ressources financières suffisantes en matière d’autonomisation économique des femmes et assurer le transfert et l’utilisation de technologies favorables à l’entrepreneuriat des femmes 

4. Soutenir le leadership des femmes et encourager leur participation entière et effective, et leur accès en toute égalité aux fonctions de direction à tous les niveaux de décision dans la vie politique, économique, sociale et culturelle 

  • Accroître et améliorer la représentation des femmes dans les instances de prise de décision et dans les médias : Assurer une représentation quantitative et qualitative équilibrée, dans l’espace médiatique, des femmes et des hommes de la sphère décisionnelle, notamment à travers des mécanismes indépendants de régulation et d’autorégulation  

  • Assurer la participation effective des femmes à la gouvernance et à la prise de décision dans les processus de paix : Accroître la participation significative des femmes, des organisations et des réseaux de femmes dans les domaines de prévention des conflits, de résolution des conflits, de consolidation de la paix et de reconstruction post-conflit de l’État 

  • Promouvoir la participation et l’autonomisation des femmes dans la vie sociale, culturelle et sportive : Prévenir, dans ces contextes, toutes les formes de discriminations faites aux femmes et aux filles et assurer leur protection et leur sécurité en mettant en place des dispositifs appropriés et en prenant des mesures concrètes de lutte contre toutes les formes de violences à leur égard 

5. Promouvoir et mettre en œuvre l’institutionnalisation de l’égalité entre les femmes et les hommes sur le plan organisationnel : Intégrer de manière effective l’égalité entre les femmes et les hommes dans l’ensemble des programmes, projets et activités, en y incluant notamment des indicateurs sexo-spécifiques 

 

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